Être fatigué de soi-même
Combien de promesses vous êtes vous faites sans les tenir ?
Extrait du livre: Les quatres épreuves de la vie.
Pages 148-149
Auteur: Bulent Gardianoglu
Lecture faite par: Gönül Demirkapu
Être fatigué de soi-même.
De votre naissance à aujourd’hui, vous est-il arrivé d’être lassé des gens, fatigué d’entendre parler d’économie, fatigué de ceci ou cela, sentez-vous une accumulation et une lassitude générale. Vous est-il arrivé d’en avoir marre de vous-même?
Combien de fois vous êtes-vous dit, je ne ferai plus cette action et vous la faites quand même . Je n’irai plus à tel endroit mais vous vous y rendez quand même. Je vais réclamer mes droits, vous vous désistez au dernier moment. Je vais exprimer mes sentiments et vous abandonner. Je ne vais plus prêter de l’argent, vous prêtez à nouveau. Je ne vais plus me retarder, vous vous retardez. Je vais faire de belles vacances, vous n’en faites pas.
Combien de promesses vous êtes-vous faites sans les tenir.
Vous voila maintenant au stade d’en avoir marre de vous-même. Vous êtes déçu de vous, des gens et de la vie.
C’est un sérieux problème.
Cette accumulation et cette lassitude ont pour conséquences que tout ce dont font les autres commencent à vous déranger.
Et puis commence le manque de patience vis-à-vis d’autrui et s’en suit une élévation de votre voie de façon inconsciente.
Il s’en suit le questionnement de la vie.
Les opportunités loupés du passé, le fait d’avoir pris de l’âge, vous sentez le poids pesant de votre vie, vos responsabilités, votre obligation de travailler et tout cela vous ouvre la porte des nouvelles épreuves de la vie.
Généralement, j’ai constaté que nous sommes sujet aux quatres épreuves de la vie suivante : la santé, le courage, l’abondance et les relations.
Votre relation de couple s’arrange puis soudain surgissent des problèmes dans votre relation avec les enfants. Ceux-ci, une fois résous, vos peurs font surface.
Votre peur de que vont penser les gens, votre peur de la solitude, votre peur d’échouer, votre peur d’abandon etc...
Après avoir discuté avec certaines personnes, j’ai constaté que mes choix étaient entre autre influencés par les autres, la peur de que vont-ils dire ou penser. En effet, cette crainte m’a influencé fortement dans le choix de l’école de mes enfants. Mon choix s’est donc porté dans une école prestigieuse.
Cela n’a pas apporte la réussite à mes enfants.
Vos enfants, vous font vivre tout vos peurs afin que vous les nettoyez.
En effet, vous attirez vos peurs.
Un jours, je me demandais ce que je ferai si mon enfant était sujet à des migraines.
Le fait d’y avoir pensé, m’a fait face à cela.
Mon enfant a eu des migraines.
Toutes les questions qu’on se pose, sont comme des épreuves qu’on attire à nous, afin de trouver les réponses.
Un jour ma fille m’a annoncé qu’elle hésitait entre deux sports et qu’elle devait faire un choix. À l’intérieur de moi, je me suis dis pas le football.
Une semaine après ma fille m’a dit qu’elle avait l’intention de choisir le volley-ball mais, qu’à la dernière minute elle a eu un ressentit, sa voix intérieure l’a dirigée vers le football.
Après son partage, j’ai pensé intérieurement « j’espère qu’elle abandonnera cet idée et qu’elle n’exagèrera pas dans la pratique de ce sport. »
Elle a adoré le football et a continuer à en jouer et a même été choisie pour jouer avec son équipe à l’étranger.
Tout ce dont on résiste, persiste.
La leçon est que, seul Dieu a le contrôle du système divin dont il est le créateur.
Vous avez uniquement le droit de choisir dans un petit espace qu’il vous a octroyé. Sachez que vous n’avez pas le droit de juger, de vous sentir supérieur ou inférieur à quiconque. Nous faisons du bien pour nourrir notre ego.
Pour prouver notre valeur, pour prouver notre réussite ou notre attente d’estime et de reconnaissance.
Ces attentes dans nos actions, nous font perdre tous les bienfaits nécessaires à notre évolution spirituelle, notre élévation dans l’au-delà.
Ainsi, nous perdons tous les bienfaits de nos actions dans ce monde.
Nos ancêtres nous ont pourtant bien appris que, ce que nous donnons avec notre main droite, ne doit pas être connus par la main gauche. Seules comptent nos bonnes actions non divulguées et inconnues des autres. Malheureusement, nous avons tendance à écraser l’autre en rappelant ce que l’on fait pour lui, quand notre égo se sent mal.
En conséquence, la personne qu’on a aidée commence à ressentir de la haine envers nous.
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